[BIBLIOTHÈQUE BLEUE]. Onze ouvrages de colportage et impressions populaires. 11 vol. in-12, broché ou en reliure moderne.
Les Étrennes de la Saint-Jean Troisième édition []. Troyes, Oudot, 1751.
Portrait gravé sur bois de Monsieur ou Madame Oudot tiré en vert, titre imprimé en noir et vert. « Il n'est resté de portrait d'aucun d'eux, car on ne peut appeler de ce nom la grotesque caricature, de sexe presque indéfinissable, qui figure en frontispice au premier volume de diverses éditions troyennes des Etrennes de la Saint-Jean, imprimées par les Oudot au XVIIIe siècle, et que la légende souscrite désigne comme représentant M. ou Mme Oudot. Cette horreur est suivie du quatrain ci-dessous :
Vois dans les traits que tu contemples
Un imprimeur loyal et sans ambition,
A tes pareils, Oudot, tu serviras d'exemples,
Un Imprimeur doit faire impression. » (Morin)
Note manuscrite ancienne sur la première garde blanche indiquant le nom des auteurs. « Ce ton est celui des oeuvres poissardes du milieu du XVIIIe siècle, dont Duchesne de Paris aurait fait imprimer une partie à Troyes, soit à ses frais, soit en association avec les Oudot. Nous citerons simplement d'après le Catalogue de livres poissards et autres du même genre de Duchesne : Les étrennes de la Saint-Jean, avec une relation galante et funeste. A Troyes, chez Oudot (Jacques) s. d. avant 1711, chez la veuve Oudot. M. DCC. LI, M. DCCLIII, M. DCC. LVII (cette dernière édition suivie des Ecosseuses). OEuvre collective par le Comte de Maurepas, le président de Montesquieu, le Comte de Caylus, Moncrif, Crébillon Fils, Salle, la Chaussée, Duclos, d'Armenonville et l'abbé Voisenon. » (Brochon).
Petite déchirure sans manque à une garde de papier marbré.
Morin, 254. Brochon, Le livre de colportage en France depuis le XVIe siècle [], p. 70. Morin, Histoire corporative des artisans du livre à Troyes, p. 226.
La Femme mal conseillée, et le mari prudent, ou la guinguette de Surenne. Troyes, Garnier, [fin XVIIIe s.].
Morin, 289.
Éloge funèbre de Michel Morin [] Ses regrets et crèves-coeurs sur la mort de son ane ; suivis de son testament, et dernières paroles remarquables. Troyes, André et Anner, 1832.
Morin, 234.
Exercice de dévotion []. Troyes, J. Garnier, [XVIIIe s.].
Figures gravées sur bois à pleine page
Morin, 256.
L'École des pères. Suivie de La mauvaise mère. Contes nouveaux. Milan [Troyes], [Garnier], 1784.
Mouillure claire en pied. Trace de pliure en première et dernière pages.
Morin, 232. Morin, Garnier, p.22.
La Ville de Paris en vers burlesques []. Augmentée de la foire Saint Germain par le sieur Scaron. Troyes, Veuve de Jean Oudot, [mi-XVIIIe s.].
Quelques rousseurs.
Morin, 1217.
La Vie, mort et passion de notre sauveur Jésus-Christ. Nouvellement augmentée des passages de l'Evangile, des plus fidèles historiens. Troyes, Garnier, [Fin XVIIIe siècle].
Gravure sur bois de la Trinité en page de titre, gravure sur bois de la Nativité signée J.B.V. p. 43.
Petits manques de papier comblés à deux feuillets, légère atteinte aux lettres.
On joint la page de titre découpée d'une autre édition du même titre (Troyes, Garnier, XVIIIe s.) ornée d'une gravure sur bois de la Trinité signée J.B.V.
Morin, 1205, 1197.
Les Étrennes de la Saint-Jean. Seconde édition []. Troyes, Oudot, 1742.
Portrait gravé sur bois de Monsieur ou Madame Oudot tiré en bleu, titre imprimé en noir et bleu. À propos de Jean IV Oudot : « Au nombre [des éditions] qu'il a procurées figurent : [] 1742 - Les Etrennes de la Saint-Jean, 2e édition, Troyes, chez la veuve Oudot, in-12 (Bibliothèque nationale), avec un portrait grotesque tiré en vert ou en bleu, au bas duquel on lit : M. ou Mme Oudot avec cet avertissement au ton de l'ouvrage : "L'Imprimeur étant contrefait, il a jugé à propos de se faire graver, afin que son livre ne soit pas de lui quand il n'y sera pas." » (Corrard de Breban). « Il n'est resté de portrait d'aucun d'eux, car on ne peut appeler de ce nom la grotesque caricature, de sexe presque indéfinissable, qui figure en frontispice au premier volume de diverses éditions troyennes des Etrennes de la Saint-Jean, imprimées par les Oudot au XVIIIe siècle, et que la légende souscrite désigne comme représentant M. ou Mme Oudot. Cette horreur est suivie du quatrain ci-dessous :
Vois dans les traits que tu contemples
Un imprimeur loyal et sans ambition,
A tes pareils, Oudot, tu serviras d'exemples,
Un Imprimeur doit faire impression." (Morin)
Présence d'un cachet dans la marge.
Exemplaire bien préservé.
Morin, 254. Corrard de Breban, Imprimerie à Troyes [], p. 155-156. Morin, Histoire corporative des artisans du livre à Troyes, p. 226.
Étrennes a Messieurs les Ribauteurs. Les Supplémens aux Écosseuses []. S. l. n. n., 1752.
Légères rousseurs.
Morin, 254.
La Vengeance du trepas funeste du fameux Michel Morin. Conspirée par les amis du défunt contre la mort. Troyes, Garnier, [XVIIIe s.].
Exemplaire non rogné.
Mouillures en bas de certaines pages et un manque sans atteinte au texte.
Morin, 1094.
 [HESMOGENE (R. P.)]. Oraison funèbre et testament de Jean-Giles Bricotteau de Soissons. Troyes, Garnier, [2e moitié du XVIIIe s.
Feuillets quelques peu brunis et marqués de rousseurs. Une déchirure sur la page de titre sans manque.
Morin, 853

Adjugé : 320 €